« Le maquereau en boîte » est ma quatrième mise en scène et la pièce que nous présentons n’avais jamais été montée.
Au démarrage de la première représentation, en tant que metteur en scène, j’ai toujours des craintes sur mes choix.
le bon choix pour la pièce, la distribution des rôles, du décor, de la mise en scène du jeu des acteurs, des déplacements, etc… en définition le trac. A la différence des acteurs, qui eux ont le trac du blanc ou d’une maladresse, je ne suis pas mis à nu devant un public et mon trac disparaît tout au long du nombre de représentations.
Alors que j’écris ces lignes, nous avons effectué deux représentations sur huit, et mon trac à fortement diminué.
Cela, je le dois aux acteurs qui ont su, par l’initiative et la force de leur jeu, me rassurer rapidement sur les craintes de mes choix.
Un grand merci également à la décoratrice et aux régisseurs qui ont su, eux aussi m’apaiser, en apportant les solutions aux divers problèmes techniques.
C’est pourquoi, à vous qui me lisez, je vous conseille vivement et fortement d’aller voir cette pièce, qui pour moi est ma meilleure mise en scène grâce à eux et malgré mes maladresses.
Jean Martin
Metteur en scène pour la troupe des Amateurs Associés de Riddes
L’attitude d’un auteur, quand il écrit pour le théâtre, doit être affective avant d’être intellectuelle car tout le théâtre s’adresse à l’émotion avant tout.
Excellent travail. Un metteur en scène plein d’audace. A quand une comédie sur un illusionniste qui change le jambon en saucisses?
Encore bravo à la troupe.